Comment identifier une entreprise réellement inclusive ?

1. Vérifier la communication de l’entreprise

Une entreprise inclusive n’a pas peur d’en parler. Et non, ce n’est pas du “greenwashing version handicap”.

• Site carrière : cherchez des mots comme accessibilité, diversité, inclusion. S’ils brillent par leur absence, méfiance…

• Réseaux sociaux : témoignages de salariés, campagnes de sensibilisation, partenariats visibles. Bref, autre chose que des photos de baby-foot en salle de pause.

• Rapports RSE : souvent longs comme un roman, mais riches en infos utiles.

Si vous devez jouer au détective pour trouver le mot “handicap”, c’est peut-être que l’inclusion n’est pas leur priorité.

2. Les labels et certifications

Certaines reconnaissances valent plus qu’un joli logo en bas de page :

• Label Diversité ou Label Égalité.

• Charte de la diversité (si elle est suivie d’actions concrètes, sinon… bof).

• Partenariats AGEFIPH ou FIPHFP.

Ces labels, c’est un peu comme un permis de conduire : ils ne garantissent pas que l’entreprise conduira toujours bien, mais au moins, elle a appris les bases.

3. Le processus de recrutement

Le ton est donné dès la candidature :

• Site accessible : si vous galérez à déposer un CV à cause d’un bouton minuscule, c’est mauvais signe.

• Offres d’emploi : mention explicite de l’ouverture aux candidats RQTH.

• Entretien : recruteur à l’écoute de vos besoins d’aménagements, sans grimace ou soupir.

Bonus : la présence d’un référent handicap joignable. Un peu comme un guide touristique, mais pour naviguer dans le monde du recrutement inclusif.

4. Les aménagements proposés

Une entreprise inclusive fait plus que cocher une case. Elle agit :

• Poste adapté : horaires flexibles, télétravail, matériel ergonomique.

• Locaux accessibles : rampes, ascenseurs qui fonctionnent (oui, ça compte), signalétique claire.

• Outils numériques compatibles avec les logiciels d’accessibilité.

Si chaque adaptation ressemble à une bataille digne de “Game of Thrones”, ce n’est pas bon signe.

5. Les témoignages des salariés

Rien de tel que le bouche-à-oreille :

• Plateformes d’avis : attention, ça pique parfois, mais c’est instructif.

• Forums emploi & handicap : vous croiserez peut-être un futur collègue.

• Associations spécialisées : elles savent très bien quelles entreprises sont sincèrement engagées.

Astuce : si les témoignages parlent plus souvent de baby-foot que d’inclusion, passez votre chemin.

6. Explorer des plateformes comme les vitrines Coline

Plutôt que de jouer les détectives privés, autant aller droit au but :

Avec les Vitrines Coline, vous pouvez comparer les entreprises sur leurs engagements réels :

• Initiatives concrètes,

• Actions de sensibilisation,

• Témoignages de salariés,

• Dispositifs d’accompagnement.

Bref, une sorte de “Tripadvisor de l’inclusion”… mais en plus fiable.

7. La culture d’entreprise

Enfin, l’inclusion, ce n’est pas juste “atteindre les 6 % de travailleurs handicapés imposés par la loi”. C’est un état d’esprit :

• Campagnes internes sur le handicap visible et invisible.

• Formations managers et équipes.

• Événements autour de la diversité et de l’égalité.

Une culture inclusive, ça se voit dans les actes du quotidien, pas seulement le 3 décembre (journée mondiale du handicap).

Conclusion

Trouver une entreprise inclusive, ce n’est pas chercher une licorne. Les preuves existent : communication claire, labels, recrutement ouvert, aménagements concrets et retours positifs des salariés.

Conseil clé : faites confiance aux employeurs qui démontrent leur engagement par des actions réelles, pas seulement par des slogans.

Vous cherchez un environnement de travail qui vous ressemble ?
Allez jeter un œil aux Vitrines Coline : le meilleur moyen d’identifier les employeurs qui transforment vraiment leurs promesses en actes.